WHAT'S NEW?
Loading...

4 sites pour apprendre gratuitement le codage en ligne



Préparez-vous pour ajouter des compétences en programmation à votre profil avec ces cours gratuits en ligne!

Codage est quelque chose que chaque geek tech devrait essayer et dans le scénario d'aujourd'hui avec la richesse des cours en ligne, dont beaucoup sont gratuits, l'apprentissage de la programmation est devenue plus facile que jamais.

Si vous avez l'intention de prendre C + +, Ruby on Rails, Python ou Java, ces options en ligne pourrait être une bonne façon de commencer. Et si vous êtes déjà un programmeur qualifié, ces cours pourraient bien vous aider à peaufiner vos compétences encore.

1. Mozilla's School of Webcraft
100 pour cent le site de formation de développeur gratuit de Mozilla est tout au sujet de l'enseignement de noobs et jedis ressemblent à coder . Si vous voulez commencer avec quelque chose comme HTML ou si vous êtes un dev expérimenté qui veut plonger dans Python , l'École de Webcraft est quelque chose de la peine de vérifier . Plusieurs cours ont lieu généralement en même temps , et de nouvelles classes sont en cours d'élaboration tout le temps .

2. Google Code University
De Google Code, nous avons l'Université code, une ressource gratuite et fascinant. Et bien sûr, il a ses propres forums pour les apprenants de poser des questions et obtenir de l'aide. Vrais débutants peuvent aussi commencer avec les présentations et tutoriels, qui sont conçus avec à l'esprit les nouveaux développeurs.

3. MIT's OpenCourseWare
If you've ever thought of studying computer science at one of the U.S.'s leading tech institutions, here's your chance. MIT's free and accessible courses are great for ambitious would-be coders. Check out the full list of courses for computer science, which include introductions to Java, Python, C++ and more.

4. UC Berkeley Webcast/Courses
L'Université de Californie à Berkeley a un vaste catalogue de webcasts, y compris les événements et les cours. Le cursus est entièrement libre d'accès, et il inclut la vidéo et des webémissions audio de sciences informatiques cours du semestre en cours tout le chemin du retour à 2003.

LE PRIX DU VIRUS LE PLUS DANGEREUX DE L’ANNÉE 2013 REVIENS À ANDROID !



Découvert en juin dernier sur Android, Obad vient d’être élu par Kapersky comme étant le virus informatique le plus dangereux de toute l’année 2013.  Vicieux et insidieux, Backdoor.AndroidOS.Obad s’installe subrepticement sur les terminaux d’utilisateurs et n’apparaît ni dans la liste des processus en cours, ni dans celle des applications installées, s’octroyant ainsi les privilèges spéciaux de votre appareil et vous demandant l’accès à l’écran de verrouillage.
En dehors des dangers qu’il représente, Obad ne peut quasiment être supprimé que par la restauration de l’image système originale de votre appareil ou le flashage d’une ROM. Un cheval de Troie ultra puissant dont il est quasiment impossible de venir à bout.

Le virus Android Obad est le plus dangereux de l’année 2013

Après avoir travaillé avec Google sur la suppression de ce virus Android, Kapersky qui établit actuellement ses bilans de fin d’année à déclaré qu’Obad était non seulement le cheval de Troie le plus dangereux recensé en 2013 mais également le plus dangereux de tous les temps.
Une fois votre appareil infesté, Obad peut envoyer librement des SMS à des numéros payants, exporter vos information personnelles vers des serveurs externes, spammer vos contacts et même infecter d’autres appareils à proximité. Il est également transmissible d’un appareil à un autre par simple SMS.
Par ailleurs, si jamais votre smartphone ou votre tablette est rooté, alors Obad devient encore plus dangereux, l’accès root lui permettant de contourner absolument toutes les limites prévues par les constructeurs.
Pour pallier au problème, Google a corrigé la faille de sécurité permettant à Obad d’infecter un appareil à partir de la mise à jour Android 4.3. Si vous êtes sous une version antérieure de l’OS, l’une des seules solutions permettant de s’en préserver reste l’antivirus MacAfee que vous pouvez télécharger gratuitement dans le Play Store.

GOOGLE ET AUDI PRÉPARENT DES VOITURES CONNECTÉES SOUS ANDROID


Le futur s’annonce étonnant, radieux pour certains (comme Samsung), inquiétant pour d’autres. Google pourrait maintenant vouloir envahir vos voitures. En effet l’entreprise aurait négocié, selon le Wall Street Journal, un partenariat avec la marque de voiture allemande Audi. Ils développeraient ensemble des voitures sous Android. Aussi loufoque que cela puisse paraître, ce n’est pas la première fois que des entreprises s’intéressent aux voitures connectées. Les marques Volvo, Ford ou encore Mercedes-Benz travaillent déjà sur ce genre d’innovations.
Toujours selon Le Wall Street Journal, Google et Audi seraient déjà prêts à présenter des prototypes de leurs futurs produits et comptent en exposer lors Consumer Electronic Show qui se déroulera la semaine prochaine à Las Vegas. Ils veulent également convaincre les différents constructeurs d’utiliser leur écosystème. Les deux grands se sont offerts les services de Nvidia afin de travailler sur l’intégration d’Android dans les futurs véhicules d’Audi. Il sera alors possible pour les conducteurs d’accéder aux services de l’OS comme la musique ou les vidéos. Evidemment, de nombreuses applications seront également accessibles par cette voie.

Des voitures sous Android par Google et Audi lors du CES 2014

Rappelons que de son côté Apple s’est attaqué également au marché de l’automobile et veut lui aussiintégrer iOS aux voitures partenaires. On parle ici de marques comme BMW, General Motors ou encore Honda. La compagnie américaine veut aussi y incorporer son assistant vocal Siri afin de lire ou de dicter les SMS et les mails du conducteur ou des passagers.
Le Wall Street Journal s’emballe et déclare que « La voiture risque de devenir l’appareil mobile ultime ». Nous avons déjà entendu ce genre d’analyses sur tout et n’importe quoi, nous nous contenterons donc d’attendre. Il est toutefois certain que les voitures de ce type auront une place très importante lors du CES, comme d’ailleurs de nombreux objets connectés. Rendez-vous la semaine prochaine pour les plus curieux!


Google passe à l’offensive pour défendre Android face à Rockstar

Face aux attaques du consortium Rockstar (Apple, Microsoft, BlackBerry, EMC, Ericsson et Sony), Google passe à l’offensive et dépose plainte à son tour dans le but de défendre son système Android.
En 2011, plusieurs entreprises (notamment Apple et Microsoft) réunies au sein du consortium Rockstar misaient plus de 4,5 milliards de dollars pour récupérer les 6 000 brevets de Nortel. Apple a lui seul aurait investi 2,6 milliards. A l’époque, Google avait misé seul 900 millions de dollars pour les acquérir : une somme trop peu élevée. 
Suite à cet échec de Google, Eric Schmidt, alors PDG de Google, s’effrayait de la « volonté d’exploiter des brevets plutôt que d’innover ». Une intuition qui semble se vérifier puisqu’en octobre dernier, le consortium Rockstar déposait une plainte contre Google mais aussi contre ses partenaires constructeurs utilisant Android : HTC, les chinois Huawei et ZTE, mais aussi LG, Pantech, Samsung et consorts. La plainte visait notamment le système AdWords de Google et son système de mise en relation entre une recherche Web et une publicité.

Facebook et LinkedIn également visés

Google a donc décidé de réagir en déposant plainte à son tour. Dans le long texte, Google accuse notamment le consortium de n’être en fait qu’une « entreprise de brevets qui n’a aucun produit » et existe uniquement en attaquant ceux qui pourraient enfreindre ses brevets. Facebook et LinkedIn seraient également dans le viseur de Rockstar. 
Le géant du Web souhaite donc se protéger et protéger par là même ses partenaires constructeurs face au système Android. Car Rockstar réclame une compensation financière pour chaque appareil Android vendu. 

10 distributions Linux à suivre en 2014

Chaque fin d'année fournit l'occasion de faire un point sur les logiciels et technologies à suivre sur les douze mois à venir, dans différentes catégories. Nos confrères de Computerworld ont renouvelé l'exercice en cette fin décembre. Dans le domaine des distributions Linux, Bryan Lunduke a retenu dix projets sur lesquels il serait bien de garder un oeil. 

1 - elementary OS

Certaines distributions Linux pour le poste de travail ont su prendre des parts de marché sans que l'on s'y attende. On se souvient d'Ubuntu, en 2004, qui avait fait une arrivée remarquée dans l'écosystème. Voilà pourquoi il convient de garder un oeil sur elementary OS, un acteur relativement nouveau qui a pourtant déjà fait son entrée au Top 10 du classement Distrowatch et continue de monter. Avec son design, superbe, et sa prochaine version prévue pour avril 2014, on pourrait le voir dans le Top 5 des distributions grand public l'an prochain ou en 2015.

2 - Ubuntu Touch


Jusqu'à présent, la version mobile d'Ubuntu est seulement disponible pour les développeurs et pour les utilisateurs professionnels qui veulent la tester. Cela va changer en 2014 avec l'arrivée des matériels. Au cours de l'année, tout un chacun pourra commander un téléphone mobile sous Ubuntu. L'OS recevra-t-il un accueil enthousiaste ou devra-t-il se contenter d'un succès d'estime ? Ce devrait plus probablement se situer à mi-chemin. Sans préjuger du résultat, Ubuntu Touch sera intéressant à suivre.

3 - OpenSuse


Le monde des distributions Linux foisonne de transformations et de controverses. Au final, de nombreux utilisateurs changent de versions pour aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs. Parmi tous ces changements, il y a une exception. C'est OpenSuse qui continue à être l'une des forces les plus solides et les plus cohérentes dans cet univers en perpétuelle évolution. Est-ce que cela risque de changer en 2014 ? Certainement pas. Mais on peut anticiper une augmentation du nombre d'utilisateurs d'OpenSuse cherchant un refuge dans la guerre qui se mène sur les serveurs d'affichage et les environnements desktop.

4 - ChromeOS


Notre confrère de Computerworld a hésité à inclure dans sa liste ChromeOS de Google, qui présente très peu de ressemblances avec une distribution Linux traditionnelle. Pourtant, il s'agit aussi de Linux. Et, avec la force marketing qu'il y a derrière, on ne peut que constater l'adhésion dont l'OS a bénéficié cette année. En 2014, on verra si cela passe ou lâche. Ce devrait passer et prendre beaucoup d'importance.

5 - Lubuntu


C'est Ubuntu sans l'interface Unity, à qui l'environnement plus léger LXDE a été préféré. Il a déjà bien gagné en popularité, en partie grâce à de nombreux utilisateurs d'Ubuntu cherchant à échapper à la lenteur de l'environnement desktop Unity. Lubuntu semble avoir maintenant atteint une masse critique, retenant aussi  l'attention d'utilisateurs ne venant pas d'Ubuntu pour sa rapidité et sa faible empreinte mémoire. Cette distribution devrait progresser de façon sensible en 2014.

6 - Mer + Plasma Active


Pour ceux qui se souviennent de Maemo et Moblin, Mer est une sorte de successeur spirituel à ces distributions malchanceuses. C'est sur cet OS mobile basé sur Linux que repose l'interface KDE Plasma Active. Y aura-t-il des matériels livrés en 2014 avec Mer et Plasma Active préinstallés ? Difficile à dire. Mais, même s'il n'y en a pas, cette technologie est intéressante et très importante pour une raison essentielle : elle approche les choses de façon très différente des autres systèmes mobiles (tels qu'Android, Ubuntu Touch ou FirefoxOS). Pour cela, elle mérite que l'on s'y attache.

7 - Mint


Linux Mint est un spécimen intéressant. Il s'est d'abord présenté comme une version d'Ubuntu complétée de divers codecs et pilotes. Par la suite, il a rapidement acquis une réputation méritée pour son excellent design. Enfin, au cours des dernières années, il s'est constitué une base importante d'utilisateurs l'amenant à la première place du classement DistroWatch. Sa popularité a généré différentes versions et transformations, ce qui est à la fois intéressant et déroutant. Notre confrère de Computerwold  pense que Linux Mint va se recentrer sur son message en 2014 avec une seule version. Dans le cas contraire, sa popularité risquerait d'en souffrir. Quoi qu'il se passe, il faut y regarder de près.

8 - Arch


Arch a plus de 11 ans, c'est donc loin d'être un nouveau venu. Mais sa base d'utilisateurs ne constitue toujours qu'une niche du marché Linux dans son ensemble. Pourquoi donc faudrait-il le surveiller en 2014 ? Une intuition peut-être. Le pressentiment qu'il pourrait être intéressant de voir ce qui lui arrive en 2014.

9 - Construire sa propre distribution


Un peu d'humour. Les outils pour bâtir sa propre distribution Linux, tels que Suse Studio,  sont aboutis et si faciles à utiliser que, dans certains cas, la meilleure « distro » Linux sera celle que l'on se prépare soi-même en s'appuyant sur une version existante. En 2014, on devrait voir s'étendre les possibilités pour se fabriquer son propre système et le fournir à ceux qui pourraient partager les mêmes besoins.

10 - SteamOS


Valve, l'un des plus importants développeurs et éditeurs de jeux du marché, fait maintenant des jeux pour Linux et sa boutique Steam fonctionne sur cet OS. C'est aussi un membre de la Fondation Linux. Et il a même bâti sa propre distribution, SteamOS, pour des consoles qui seront livrées en 2014. S'il a du succès sur le marché, et il y a peu de raisons de penser qu'il n'en rencontrera pas, même s'il est modéré, cela pourrait avoir un impact important dans le domaine des jeux sur Linux. Microsoft, Sony et Nintendo (et à peu près tout le monde avec eux) regarderont de très près ce que Valve va faire avec SteamOS en 2014.

Le Gigabit WiFi arrive en 2014 mais avec des performances variables



Le Gigabit WiFi arrive en 2014 mais avec des performances variables


Prévu depuis 2011, le standard 802.11 ac a pris du retard et le  marché correspondant tarde à décoller. L'année 2014 devrait permettre aux entreprises de s'y intéresser, points d'accès, routeurs, ordinateurs et smartphones compatibles devenant disponibles à des prix attractifs.

En 2014, les entreprises seront en mesure d'acheter des équipements Gigabit WiFi mais sans obtenir les débits promis. Le Gigabit WiFi se réfère à la norme IEE 802.11 ac, qui peut varier considérablement  en fonction des débits donnés non seulement lors de son implémentation, mais également suivant la proximité du client par rapport à un point d'accès ou un hotspot. Il fonctionne uniquement dans la bande des 5 GHz. 

La NSA cherche à casser tous les cryptages avec un ordinateur quantique

    

L'agence d'espionnage américaine finance un projet d'ordinateur quantique capable de casser tous les systèmes de chiffrement, selon le Washington Post.

L'Agence de sécurité nationale US tente de construire une nouvelle génération de super-ordinateurs qui pourrait théoriquement ne faire qu'une bouchée des systèmes de chiffrement actuellement utilisés pour sécuriser les communications numériques.

Le projet de construire « un ordinateur quantique utilisable en cryptographie » fait partie d'un projet de recherche d'un montant de 80 millions de dollars baptisé « Penetrating Hard Targets » et localisé sur le campus de l'Université du Marylandselon le Washington Post. Le journal américain a de nouveau bénéficié de documents fournis par Edward Snowden pour rédiger son article. Selon un rapport de l'Union européenne datant de juin 2005, les États-Unis consacraient à cette date 75 millions d'euros aux recherches sur les ordinateurs quantiques contre 8 millions pour l'Europe. Le Canada dépenserait 12 millions d'euros par an, le Japon 25 millions et l'Australie 6 millions. Le budget alloué par la NSA serait donc sans commune mesure avec ceux des autres pays, notamment européens.

Depuis toujours, l'utilisation de systèmes de chiffrement pour assurer la confidentialité de certains messages a immédiatement été suivie de tentatives pour casser par la force les algorithmes utilisés. Avec le développement d'ordinateurs de plus en plus puissants, les clefs de cryptage se sont renforcées pour résister aux assauts bruts. Aujourd'hui des clefs de 256 bits ou plus sont monnaie courante, en particulier pour protéger des informations sensibles. Même avec un superordinateur puissant, les experts conviennent qu'il faudrait de nombreuses années pour casser une clef unique de 256 bits (voir tableau sur les clefs de cryptage).

L'informatique quantique fascine

A la différence de l'informatique traditionnelle, qui repose sur un codage binaire des informations (un ou zéro) issu des travaux d'Alan Turing, un ordinateur quantique emploie des bits dont la valeur peut être à la fois de un ou zéro grâce à la superposition d'états quantiques. Le prix Nobel de physique Richard Feynman est à l'origine des premiers travaux sur les ordinateurs quantiques au début des années 80. Parce que chaque bit quantique est titulaire des deux valeurs en même temps, une chaîne de bits quantiques peut représenter simultanément les deux chiffres. Cela signifie qu'un ordinateur quantique pourrait réaliser beaucoup plus de calculs en une seule étape, et non pas un par un comme le font les ordinateurs actuels. Ainsi, le déchiffrement d'une clef de cryptage pourrait devenir un jeu d'enfant .

Les scientifiques cherchent encore à faire fonctionner de manière fiable les ordinateurs quantiques capables d'effectuer des calculs mathématiques complexes, et le financement de la NSA cherche justement à accélérer ces programmes. Beaucoup d'universités et de laboratoires de recherche dans le monde entier investissent des millions d'euros dans des programmes visant à rendre les ordinateurs quantiques fiables en réduisant les problèmes de décohérence, et la technologie s'améliore d'année en année, mais à ce jour personne n'a signalé une percée qui rendrait caduques les clefs de chiffrement utilisées actuellement. Cependant, l'arrivée d'un ordinateur quantique utilisant les algorithmes de Shor pour casser du code et de Grover pour améliorer la recherche dans de gigantesques bases de données pourrait inquiéter un grand nombre de gouvernements.