WHAT'S NEW?
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 1 . Experts grandes de données : Big données devrait être énorme en 2016 et experts grandes de données doit être le plus recherché pour l'emploi . Professionnels de l'information formés dans des plates-formes comme Hadoop sont appelés à devenir importante comme le sont les grands analystes de données .

2 . L'intelligence d'affaires ( BI ) : Bien que ce soit un sous-ensemble de la scène Big Data seulement, il fait encore pour un environnement de travail distinct ainsi . Concepteurs de BI sont appelés à devenir plus important que BI se doit évoluer pour être beaucoup plus bénéfique et productif pour les entreprises .

3 . DevOps : Devops ou Développement et d'Opérations professionnels sont déjà en demande dans l'industrie . Avec l'utilisation accrue de nuage et de mobilité fonctions , ces experts devraient être encore plus utile pour toute entreprise .

4 . Avantages de Linux : Beaucoup ont commencé à remarquer Linux et 2016 a été une grande année pour cette open source centrale. Selon le rapport des travaux de Linux Dice.com et la Fondation Linux , trois sur quatre professionnels de Linux avait été appelé par les entreprises au cours des six derniers mois .

5 . Développeurs d'applications mobiles Si vous avez des compétences en développement mobile , vous allez obtenir un emploi en 2016 . En outre, ils ont également la possibilité de faire leur propre application et préparent leur propre démarrage , peut-être même de refuser une offre d'un milliard de dollars de Facebook !

6 . . NET et les développeurs Java : Programmation dans ce département n'ont jamais vraiment trouvé le marché du travail soit difficile pour eux . Cela continuera en 2016 et ils ne devraient pas avoir de la difficulté à trouver un emploi .

7 . Les analystes d'affaires et chefs de projet : . Comme net et Java programmeurs analystes d'affaires et chefs de projet sont aussi vieux favoris dans l'industrie des TI . Ces deux titres d'emploi devraient continuer à augmenter en 2016 , en partie à cause des nouveaux segments comme Big Data , qui sont en hausse aussi.


Bien que ces compétences seront recherchés en 2016 , les rapports disent qu'il ya aussi un nombre croissant d'employeurs de la petite et moyenne taille entreprises (PME ) de l'industrie . Cela contribue un peu aux possibilités d'emploi pour les professionnels de l'informatique ci-dessus. En fait , avec le nombre croissant de start-up que le segment de développement d'applications a apporté , il n'est pas un long shot pour ces PME à être parmi les meilleurs employeurs en 2016 .


Préparez-vous pour ajouter des compétences en programmation à votre profil avec ces cours gratuits en ligne!

Codage est quelque chose que chaque geek tech devrait essayer et dans le scénario d'aujourd'hui avec la richesse des cours en ligne, dont beaucoup sont gratuits, l'apprentissage de la programmation est devenue plus facile que jamais.

Si vous avez l'intention de prendre C + +, Ruby on Rails, Python ou Java, ces options en ligne pourrait être une bonne façon de commencer. Et si vous êtes déjà un programmeur qualifié, ces cours pourraient bien vous aider à peaufiner vos compétences encore.

1. Mozilla's School of Webcraft
100 pour cent le site de formation de développeur gratuit de Mozilla est tout au sujet de l'enseignement de noobs et jedis ressemblent à coder . Si vous voulez commencer avec quelque chose comme HTML ou si vous êtes un dev expérimenté qui veut plonger dans Python , l'École de Webcraft est quelque chose de la peine de vérifier . Plusieurs cours ont lieu généralement en même temps , et de nouvelles classes sont en cours d'élaboration tout le temps .

2. Google Code University
De Google Code, nous avons l'Université code, une ressource gratuite et fascinant. Et bien sûr, il a ses propres forums pour les apprenants de poser des questions et obtenir de l'aide. Vrais débutants peuvent aussi commencer avec les présentations et tutoriels, qui sont conçus avec à l'esprit les nouveaux développeurs.

3. MIT's OpenCourseWare
If you've ever thought of studying computer science at one of the U.S.'s leading tech institutions, here's your chance. MIT's free and accessible courses are great for ambitious would-be coders. Check out the full list of courses for computer science, which include introductions to Java, Python, C++ and more.

4. UC Berkeley Webcast/Courses
L'Université de Californie à Berkeley a un vaste catalogue de webcasts, y compris les événements et les cours. Le cursus est entièrement libre d'accès, et il inclut la vidéo et des webémissions audio de sciences informatiques cours du semestre en cours tout le chemin du retour à 2003.


Découvert en juin dernier sur Android, Obad vient d’être élu par Kapersky comme étant le virus informatique le plus dangereux de toute l’année 2013.  Vicieux et insidieux, Backdoor.AndroidOS.Obad s’installe subrepticement sur les terminaux d’utilisateurs et n’apparaît ni dans la liste des processus en cours, ni dans celle des applications installées, s’octroyant ainsi les privilèges spéciaux de votre appareil et vous demandant l’accès à l’écran de verrouillage.
En dehors des dangers qu’il représente, Obad ne peut quasiment être supprimé que par la restauration de l’image système originale de votre appareil ou le flashage d’une ROM. Un cheval de Troie ultra puissant dont il est quasiment impossible de venir à bout.

Le virus Android Obad est le plus dangereux de l’année 2013

Après avoir travaillé avec Google sur la suppression de ce virus Android, Kapersky qui établit actuellement ses bilans de fin d’année à déclaré qu’Obad était non seulement le cheval de Troie le plus dangereux recensé en 2013 mais également le plus dangereux de tous les temps.
Une fois votre appareil infesté, Obad peut envoyer librement des SMS à des numéros payants, exporter vos information personnelles vers des serveurs externes, spammer vos contacts et même infecter d’autres appareils à proximité. Il est également transmissible d’un appareil à un autre par simple SMS.
Par ailleurs, si jamais votre smartphone ou votre tablette est rooté, alors Obad devient encore plus dangereux, l’accès root lui permettant de contourner absolument toutes les limites prévues par les constructeurs.
Pour pallier au problème, Google a corrigé la faille de sécurité permettant à Obad d’infecter un appareil à partir de la mise à jour Android 4.3. Si vous êtes sous une version antérieure de l’OS, l’une des seules solutions permettant de s’en préserver reste l’antivirus MacAfee que vous pouvez télécharger gratuitement dans le Play Store.


Le futur s’annonce étonnant, radieux pour certains (comme Samsung), inquiétant pour d’autres. Google pourrait maintenant vouloir envahir vos voitures. En effet l’entreprise aurait négocié, selon le Wall Street Journal, un partenariat avec la marque de voiture allemande Audi. Ils développeraient ensemble des voitures sous Android. Aussi loufoque que cela puisse paraître, ce n’est pas la première fois que des entreprises s’intéressent aux voitures connectées. Les marques Volvo, Ford ou encore Mercedes-Benz travaillent déjà sur ce genre d’innovations.
Toujours selon Le Wall Street Journal, Google et Audi seraient déjà prêts à présenter des prototypes de leurs futurs produits et comptent en exposer lors Consumer Electronic Show qui se déroulera la semaine prochaine à Las Vegas. Ils veulent également convaincre les différents constructeurs d’utiliser leur écosystème. Les deux grands se sont offerts les services de Nvidia afin de travailler sur l’intégration d’Android dans les futurs véhicules d’Audi. Il sera alors possible pour les conducteurs d’accéder aux services de l’OS comme la musique ou les vidéos. Evidemment, de nombreuses applications seront également accessibles par cette voie.

Des voitures sous Android par Google et Audi lors du CES 2014

Rappelons que de son côté Apple s’est attaqué également au marché de l’automobile et veut lui aussiintégrer iOS aux voitures partenaires. On parle ici de marques comme BMW, General Motors ou encore Honda. La compagnie américaine veut aussi y incorporer son assistant vocal Siri afin de lire ou de dicter les SMS et les mails du conducteur ou des passagers.
Le Wall Street Journal s’emballe et déclare que « La voiture risque de devenir l’appareil mobile ultime ». Nous avons déjà entendu ce genre d’analyses sur tout et n’importe quoi, nous nous contenterons donc d’attendre. Il est toutefois certain que les voitures de ce type auront une place très importante lors du CES, comme d’ailleurs de nombreux objets connectés. Rendez-vous la semaine prochaine pour les plus curieux!


Face aux attaques du consortium Rockstar (Apple, Microsoft, BlackBerry, EMC, Ericsson et Sony), Google passe à l’offensive et dépose plainte à son tour dans le but de défendre son système Android.
En 2011, plusieurs entreprises (notamment Apple et Microsoft) réunies au sein du consortium Rockstar misaient plus de 4,5 milliards de dollars pour récupérer les 6 000 brevets de Nortel. Apple a lui seul aurait investi 2,6 milliards. A l’époque, Google avait misé seul 900 millions de dollars pour les acquérir : une somme trop peu élevée. 
Suite à cet échec de Google, Eric Schmidt, alors PDG de Google, s’effrayait de la « volonté d’exploiter des brevets plutôt que d’innover ». Une intuition qui semble se vérifier puisqu’en octobre dernier, le consortium Rockstar déposait une plainte contre Google mais aussi contre ses partenaires constructeurs utilisant Android : HTC, les chinois Huawei et ZTE, mais aussi LG, Pantech, Samsung et consorts. La plainte visait notamment le système AdWords de Google et son système de mise en relation entre une recherche Web et une publicité.

Facebook et LinkedIn également visés

Google a donc décidé de réagir en déposant plainte à son tour. Dans le long texte, Google accuse notamment le consortium de n’être en fait qu’une « entreprise de brevets qui n’a aucun produit » et existe uniquement en attaquant ceux qui pourraient enfreindre ses brevets. Facebook et LinkedIn seraient également dans le viseur de Rockstar. 
Le géant du Web souhaite donc se protéger et protéger par là même ses partenaires constructeurs face au système Android. Car Rockstar réclame une compensation financière pour chaque appareil Android vendu. 
Chaque fin d'année fournit l'occasion de faire un point sur les logiciels et technologies à suivre sur les douze mois à venir, dans différentes catégories. Nos confrères de Computerworld ont renouvelé l'exercice en cette fin décembre. Dans le domaine des distributions Linux, Bryan Lunduke a retenu dix projets sur lesquels il serait bien de garder un oeil. 

1 - elementary OS

Certaines distributions Linux pour le poste de travail ont su prendre des parts de marché sans que l'on s'y attende. On se souvient d'Ubuntu, en 2004, qui avait fait une arrivée remarquée dans l'écosystème. Voilà pourquoi il convient de garder un oeil sur elementary OS, un acteur relativement nouveau qui a pourtant déjà fait son entrée au Top 10 du classement Distrowatch et continue de monter. Avec son design, superbe, et sa prochaine version prévue pour avril 2014, on pourrait le voir dans le Top 5 des distributions grand public l'an prochain ou en 2015.

2 - Ubuntu Touch


Jusqu'à présent, la version mobile d'Ubuntu est seulement disponible pour les développeurs et pour les utilisateurs professionnels qui veulent la tester. Cela va changer en 2014 avec l'arrivée des matériels. Au cours de l'année, tout un chacun pourra commander un téléphone mobile sous Ubuntu. L'OS recevra-t-il un accueil enthousiaste ou devra-t-il se contenter d'un succès d'estime ? Ce devrait plus probablement se situer à mi-chemin. Sans préjuger du résultat, Ubuntu Touch sera intéressant à suivre.

3 - OpenSuse


Le monde des distributions Linux foisonne de transformations et de controverses. Au final, de nombreux utilisateurs changent de versions pour aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs. Parmi tous ces changements, il y a une exception. C'est OpenSuse qui continue à être l'une des forces les plus solides et les plus cohérentes dans cet univers en perpétuelle évolution. Est-ce que cela risque de changer en 2014 ? Certainement pas. Mais on peut anticiper une augmentation du nombre d'utilisateurs d'OpenSuse cherchant un refuge dans la guerre qui se mène sur les serveurs d'affichage et les environnements desktop.

4 - ChromeOS


Notre confrère de Computerworld a hésité à inclure dans sa liste ChromeOS de Google, qui présente très peu de ressemblances avec une distribution Linux traditionnelle. Pourtant, il s'agit aussi de Linux. Et, avec la force marketing qu'il y a derrière, on ne peut que constater l'adhésion dont l'OS a bénéficié cette année. En 2014, on verra si cela passe ou lâche. Ce devrait passer et prendre beaucoup d'importance.

5 - Lubuntu


C'est Ubuntu sans l'interface Unity, à qui l'environnement plus léger LXDE a été préféré. Il a déjà bien gagné en popularité, en partie grâce à de nombreux utilisateurs d'Ubuntu cherchant à échapper à la lenteur de l'environnement desktop Unity. Lubuntu semble avoir maintenant atteint une masse critique, retenant aussi  l'attention d'utilisateurs ne venant pas d'Ubuntu pour sa rapidité et sa faible empreinte mémoire. Cette distribution devrait progresser de façon sensible en 2014.

6 - Mer + Plasma Active


Pour ceux qui se souviennent de Maemo et Moblin, Mer est une sorte de successeur spirituel à ces distributions malchanceuses. C'est sur cet OS mobile basé sur Linux que repose l'interface KDE Plasma Active. Y aura-t-il des matériels livrés en 2014 avec Mer et Plasma Active préinstallés ? Difficile à dire. Mais, même s'il n'y en a pas, cette technologie est intéressante et très importante pour une raison essentielle : elle approche les choses de façon très différente des autres systèmes mobiles (tels qu'Android, Ubuntu Touch ou FirefoxOS). Pour cela, elle mérite que l'on s'y attache.

7 - Mint


Linux Mint est un spécimen intéressant. Il s'est d'abord présenté comme une version d'Ubuntu complétée de divers codecs et pilotes. Par la suite, il a rapidement acquis une réputation méritée pour son excellent design. Enfin, au cours des dernières années, il s'est constitué une base importante d'utilisateurs l'amenant à la première place du classement DistroWatch. Sa popularité a généré différentes versions et transformations, ce qui est à la fois intéressant et déroutant. Notre confrère de Computerwold  pense que Linux Mint va se recentrer sur son message en 2014 avec une seule version. Dans le cas contraire, sa popularité risquerait d'en souffrir. Quoi qu'il se passe, il faut y regarder de près.

8 - Arch


Arch a plus de 11 ans, c'est donc loin d'être un nouveau venu. Mais sa base d'utilisateurs ne constitue toujours qu'une niche du marché Linux dans son ensemble. Pourquoi donc faudrait-il le surveiller en 2014 ? Une intuition peut-être. Le pressentiment qu'il pourrait être intéressant de voir ce qui lui arrive en 2014.

9 - Construire sa propre distribution


Un peu d'humour. Les outils pour bâtir sa propre distribution Linux, tels que Suse Studio,  sont aboutis et si faciles à utiliser que, dans certains cas, la meilleure « distro » Linux sera celle que l'on se prépare soi-même en s'appuyant sur une version existante. En 2014, on devrait voir s'étendre les possibilités pour se fabriquer son propre système et le fournir à ceux qui pourraient partager les mêmes besoins.

10 - SteamOS


Valve, l'un des plus importants développeurs et éditeurs de jeux du marché, fait maintenant des jeux pour Linux et sa boutique Steam fonctionne sur cet OS. C'est aussi un membre de la Fondation Linux. Et il a même bâti sa propre distribution, SteamOS, pour des consoles qui seront livrées en 2014. S'il a du succès sur le marché, et il y a peu de raisons de penser qu'il n'en rencontrera pas, même s'il est modéré, cela pourrait avoir un impact important dans le domaine des jeux sur Linux. Microsoft, Sony et Nintendo (et à peu près tout le monde avec eux) regarderont de très près ce que Valve va faire avec SteamOS en 2014.


Le Gigabit WiFi arrive en 2014 mais avec des performances variables


Prévu depuis 2011, le standard 802.11 ac a pris du retard et le  marché correspondant tarde à décoller. L'année 2014 devrait permettre aux entreprises de s'y intéresser, points d'accès, routeurs, ordinateurs et smartphones compatibles devenant disponibles à des prix attractifs.

En 2014, les entreprises seront en mesure d'acheter des équipements Gigabit WiFi mais sans obtenir les débits promis. Le Gigabit WiFi se réfère à la norme IEE 802.11 ac, qui peut varier considérablement  en fonction des débits donnés non seulement lors de son implémentation, mais également suivant la proximité du client par rapport à un point d'accès ou un hotspot. Il fonctionne uniquement dans la bande des 5 GHz.